Vienne, 1966. A 31 ans et encouragé par sa logeuse, Robert Simon, employé journalier au marché des Carmélites, décide de changer de vie et de réaliser son rêve de rouvrir un café abandonné devant lequel il passe tous les jours. Il le rénove et l’appelle le Café sans nom qui devient le lieu de rencontre des habitants du quartier et des commerçants. La vie de Robert est rapidement bouleversée.